Angkor, passion française


Angkor, passion française

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HORS-SÉRIE. D’Henri Mouhot à Louis Delaporte, de Pierre Loti à André Malraux, Angkor est une passion française. Le premier, le « découvreur », s’exclamait : _« Quel est ce Michel-Ange de


l’Orient qui a conçu ces merveilles ? »_ Le deuxième en a rapporté des moulages et des œuvres qui peuplent le merveilleux Musée Guimet à Paris. Le troisième a trouvé les mots les plus


émouvants pour décrire le temple du Bayon : _« _La forêt l’enlace étroitement de toute part, l’étouffe et le broie (…)._ Voici les portes ; des racines, comme de vieilles chevelures les


drapent de mille franges. »_ Le dernier, futur grand écrivain, a été tellement enthousiasmé qu’il a voulu rapporter des souvenirs, quelques statues. Tour à tour, explorateurs, archéologues,


écrivains sont revenus d’Angkor fascinés. Et même le général de Gaulle clamait son amour pour le Cambodge, sur place, en 1966, en déclarant avec son emphase inimitable : _« _L’amitié, la


confiance ! Oui ! Entre le Cambodge et la France, quelle que soit la diversité des origines et des latitudes, que d’affinités, en effet ! » IL VOUS RESTE 66.2% DE CET ARTICLE À LIRE. LA


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