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Que de bonnes nouvelles au Parc Zoologique de Paris ! Et oui, pas moins de trois petits animaux y sont nés cet été. Ils rejoignent les nombreux nouveaux-nés du parc cette année !

Une jeune femelle otarie à crinière prénommée Naya est ainsi née dans la nuit du 23 au 24 juillet, au sein de la biozone Patagonie. Il s'agit là de la première otarie de Patagonie à naître

au sein d’un parc zoologique en France; et en Europe, seulement trois naissances ont eu lieu cette année pour cette espèce ! 

Puis le 21 août, la femelle puma Maeli a créé la surprise en mettant bas devant la baie de vision dans l’un de ses abris sous le regard enthousiaste des visiteurs privilégiés. Si le premier

petit apparu vers 10h30 était mort-né, elle a finalement mis au monde un second petit, en pleine forme, et a tout de suite fait preuve d’un bon instinct maternel.

Chez les pumas, la gestation dure environ 90 jours. Le petit ouvrira les yeux d’ici une dizaine de jours, voire plus tôt du fait de son élevage extérieur. En attendant, pour leur assurer

plus de tranquillité et afin de réduire le stress pour la mère et le petit, l’accès à la vitre a été limité pour les visiteurs durant les premiers jours. 

Enfin, à la fin du mois de juillet, le Parc Zoologique de Paris a également accueilli à bras ouverts la naissance de trois chiots des buissons, dont un seul a survécu. Progressivement le

jeune prendra connaissance de son enclos sans risque. Seront ensuite envisagées des sorties surveillées et la mise en contact avec les coatis, qui partagent l’enclos avec les chiens des

buissons.

Ces nombreuses naissances, qui feront le bonheur des visiteurs, permettent également de renforcer le rôle du parc dans la conservation des espèces, acteur incontournable d’une biodiversité à

protéger.

Déjà pendant toute la durée du confinement, plus de 35 oiseaux et 27 petits mammifères étaient nés : jeunes babouins de Guinée, lémurs catta, oryx algazelle, manchots de Humboldt, suricates,

flamants roses, hérons, spatules ou encore ibis. De nouveaux pensionnaires qui peuvent être, pour une partie d’entre eux, observés dans un cadre végétal harmonieux et respectueux de leur

bien-être.

Attention, notre dernier passage remonte à plus de 4 ans, le cadre et l’expérience ont pu évoluer.

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